La régulation de chacun des ces états serait assurée par un système
opératoire situé au niveau des aires cérébrales dont l'activation serait
facilitée ou inhibée par différents neurotransmetteurs.
Le seul point faible de cette publication (qui n'a été suivie d'aucune
autre) est sa totale imprécision en ce qui concerne le protocole
opératoire.
Pour cela, un certain nombre de champs doivent être documentés: nom de
l'indicateur, définition, mode opératoire, échelle de notation, références
sur cette échelle et repère spatial (recharge amont étanche, corps de digue,
etc.).