De plus, cette profusion d'images n'est dénombrée par aucun
inventaire, les publications ne reflétant qu'un très faible pourcentage de
la masse documentaire existante.
En revanche, la tendance est inverse s'agissant des pôles de banlieue,
qu'il s'agisse des hyper-pôles (-1,3 points de pourcentage) ou des pôles
secondaires (-1,1) et isolés (-2,5). À l'instar de ce que l'on observe dans
le centre-ville, la part des modes alternatifs augmente néanmoins dans les
franges des hyper-pôles (+ 1,2).
En effet, un maximum de consistance est atteint pour un pourcentage en
sepigel de 10%.