Enfin, le Gouvernement du Québec se montre favorable à l'octroi, aux
coopératives forestières, d'une partie de la récolte de bois prévue dans les
contrats d'approvisionnement de certaines usines (CCFQ 2002).
Et lorsqu on peut contrôler l'apparente simplicité des mesures prévues
institutionnellement avec des réalités du terrain, à l'occasion d'un
procès-verbal d arpentage comme celui de Barran, ce n'est pas une surprise
de découvrir que la réalité ne colle pas avec les normes.
Avant de considérer qu'imprévision et incomplétude sont des synonymes,
il serait judicieux de saisir le sens de la première notion et de faire le
point du droit positif sur l'adaptation des contrats à la survenance
d'événements non prévus.