question (nom)
Sens 1 : Sujet, point, problème donnant lieu à
réflexion, à discussion. [source : Antidote]
Contextes :
- Mais tous les jeux ne sont pas exploités dans des espaces qui leur
sont exclusivement consacrés, se pose donc de manière plus générale, la
question de l'accès des mineurs au jeu (2).
- La question d'un équilibre psychique hors emploi ne relève ni de leurs
compétences, ni de leurs préoccupations.
- Dans ce chapitre, nous avons présenté une vue globale du domaine du
TCAO, en portant une attention toute particulière à la question de la
conscience de groupe et aux collecticiels sur le Web.
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Sens 2 : Interrogation adressée à qqn pour obtenir un
renseignement ou une explication, vérifier des
connaissances. [source : Antidote]
Contextes :
- Cette question a, au delà de son côté provocateur, l'intérêt d'amorcer
une partie de ma réflexion sur la gestion par le sujet des prescriptions
surmoïques définies et imposées par la société et ce, quelle que soit
l'incohérence de ces prescriptions.
- Dans la première approche, on cherche à répondre à la question «
qu'est-ce que le contexte et comment le représenter? », tandis que la
seconde approche cherche à comprendre «comment et pourquoi, au cours de
leurs interactions, les gens atteignent et entretiennent une compréhension
mutuelle du contexte de leurs actions? ».
- Poser une telle question revient à s'interroger sur le caractère
originaire ou non du pouvoir généré par le corps électoral local quand il
désigne les organes locaux.
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Sens 3 : Affaire où une chose précise est en
jeu. [source : Antidote]
Contextes :
- Cet accord confirme la réelle volonté des deux gouvernements de mener
à terme la normalisation de leurs relations aux frontières, amorcée en 1987,
présentée dans les discours officiels comme n'étant plus qu'une question de
temps.
- Liées à une question de survie, les règles d'hygiène de vie sont ici
perçues comme imposées de l'extérieur, ce que l'on pourrait considérer comme
le pôle répressif de l'hygiène publique.
- D'où une conclusion fortement imprégnée d'« irrationalisme», selon
laquelle la validité juridique est une question de pouvoir et non de logique
: la logique ne s'appliquant pas au droit, les raisonnements juridiques ne
sont susceptibles d'aucun contrôle, et nous sommes donc gouvernés par
l'arbitraire.