À des temps de séjour inférieurs à 2 s, la teneur en NO dans les fumées, pour chacun des deux combustibles étudiés, décroît assez
rapidement.
La teneur en eau naturelle de l'ordre de 5 % permet de conclure que l'argilite non remaniée est de consistance très raide (le = 2) (tableau
1B).
Alors que la teneur isotopique du plomb n'est pas affectée par ces processus (et c'est une des raisons de la fiabilité de ces analyses), d'autres
métaux sont volatilisés au cours des fontes et refontes.