Il semble dès lors nécessaire que le territoire national habité soit intégralement couvert par des collectivités territoriales de la
République.
En 1914 en revanche, les propriétés de plus de 10 hectares couvrent près des 2/3 du territoire communal.
La tâche dévolue aux administrations fédérales est principalement de veiller à l'intégrité d'un territoire, toujours perçu comme trop lointain et trop
vide pour être fermement rattaché au reste du Brésil.