Une variante de "baudrier à polie" apparaît dans un texte daté de
1417, relatif à l'artillerie des ducs de Bourgogne qui permet
vraisemblablement de tendre la corde à l'aide d'une seule poulie.
Il s'agit vraisemblablement d'un même composé, commun à deux baumes
exsudés par des espèces botaniques différentes, dont l'existence pourrait,
sur le plan chimique, justifier les diverses confusions souvent
réalisées.
Il nous semble que le lyotrope est caractéristique des hexagonaux
courants, cependant que les caractères anomaux du thermotrope, d'ailleurs
déjà signalés [10,11] sont liés aux dislocations coin, qui seraient
vraisemblablement thermodynamiquement stables.