En effet, maintenant que le concept de processus opaques chiffrés
existe, se pose le problème pour un propriétaire de vérifier que le
programme exécuté est bien un programme non malicieux.
Il doit faire face à l'angoisse qui l'atteint du fait, maintenant, de
sa propre ambivalence envers l'objet et de la culpabilité primaire qui en
découle.
Il importe maintenant de voir comment le droit administratif et son
univers normatif s'adaptent, pour leur part, à ces changements de valeurs
qui affectent la société et l'appareil public.