M. Poena cumule de très nombreux handicaps amenant à pronostiquer sans
grand risque d'erreur qu'il ne retravaillera pas dans la conjoncture
économique actuelle.
Alors, plutôt que de s'appesantir sur les nombreux défauts de
l'institution, on relèvera ses points positifs, et d'abord le fait que la
création de la Cour revient à pérenniser, sinon l'oeuvre, du moins l'esprit
de l'action du Conseil de sécurité que sont les TPI.
Nombreux sont les exemples de ces choix hétérodoxes de successeur,
dont les motivations n'apparaissent pas toujours clairement.