organisation (nom)
Sens 1 : Action d'organiser, de
structurer, d'arranger. [source : Antidote]
Contextes :
- A la claire répartition du temps de travail et du temps
libre succède une confusion des temps liée à la porosité
des lieux introduite par les nouveaux moyens de
communication et les nouvelles formes d'organisation du
travail qu'ils permettent.
- Si le sujet n'a pas atteint ce niveau d'organisation,
il s'enfermera dans un fantasme de toute-puissance grâce
auquel il pourra remédier à toute sensation de déplaisir
et combler tout vide insupportable : la perte n'existera
pas pour lui.
- L'utilisation de telles architectures est conseillée,
puisqu'elles permettraient une meilleure organisation du
processus d'acquisition.
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Sens 2 : Manière dont les différentes
parties d'un ensemble complexe sont structurées,
organisées. [source : Antidote]
Contextes :
- D'après C. Dejours et P. Molinier (1994), le travail
est ainsi le médiateur privilégié entre le singulier et le
collectif permettant au sujet d'« apporter sa contribution
à l'organisation de la société ».
- Mais Francesco di Castri, élargit cette conception
ternaire en formulant que la diversité embrasse tous les
niveaux d'organisation du vivant: l'unité moléculaire,
celle des organismes individuels, des populations, des
communautés, des écosystèmes, des paysages, de la
biosphère (Di Castri F. et Younes T., 1996).
- La décentralisation, comprise comme une simple modalité
d'organisation de l'État, peut être caractérisée
d'administrative, mais uniquement dans une perspective
fonctionnelle.
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Sens 3 : Association, groupement qui se
propose des buts déterminés. [source : Antidote]
Contextes :
- Face à une situation complexe, les Révolutionnaires se
saisissent très rapidement de la question, toute réforme
de l'organisation politique du Royaume devant reposer sur
une administration territoriale efficace et
sûre.
- En dernière instance c'est le caractère légal de
l'emprise de la Chine sur le Tibet - que le discours
officiel chinois fait remonter à l'époque Yuan- qui est
remis en cause, non seulement par le gouvernement tibétain
en exil, mais aussi par des gouvernements étrangers et des
organisations internationales.
- Les services dus par ces archers, des hommes "francs",
ne relèvent plus d'une participation occasionnelle, plus
ou moins improvisée, mais d'une véritable organisation
militaire, le recrutement se faisant à raison d'un homme
pour 80 feux.