Il semble que le gouvernement chinois ait décidé d'accélérer le
transfert de populations han et de leur encadrement administratif pour
conforter son contrôle des territoires tibétains.
Mais ces transferts de fonds qui passent par l'intermédiaire des
réseaux de migrants n'ont laissé que des traces certes probantes, mais trop
éparses pour permettre d'en prendre la mesure.
Les seules études que nous rapportons à ce sujet sont des études
numériques traitant du transfert de chaleur à proximité d'une seule
paroi.